Cuisante promenade à la Côte Ste Catherine

Catégories : Hommes fessés
il y a 4 ans

Nous venions de quitter précipitamment l’Algérie en tant que rapatriés et mon père avait dû rejoindre son nouveau poste dans une ville du nord de la France. En attendant qu’il trouve un logement décent et suffisamment grand pour ma mère, mes deux sœurs et moi, nous nous étions arrêtés à Bar-le-Duc où nous logions chez mes tantes en centre-ville.

A cette époque, je vivais très mal les événements s a n g lants qui avaient traversé l’Algérie ainsi que les scènes de v i o l ence à Alger. De plus, le souvenir des membres de ma famille assassinés m’avait définitivement traumatisé. Moyennant quoi, j’étais devenu malheureusement un e n f a n t perturbé, quasi incontrôlable !

Déjà aventureux et casse-cou comme bien les gosses de mon âge, j’étais totalement infernal et l’absence de mon père qui travaillait à 500 kilomètres de là n’arrangeait pas les choses; en effet, il rentrait en général le vendredi et repartait le dimanche soir.

Ces deux jours-là étaient généralement pour moi un fâcheux moment où se soldaient les comptes – et bien soldés ! – que ma mère, non pas qu’elle en fût incapable, n’avait pas pu régler dans le courant de la semaine.

En effet, médecin de son état, Maman était nantie d’un caractère solide et déterminé. De tout temps, à chacune des pitreries et autres bêtises dont je semblais avoir le génie, elle n’hésitait jamais à me déculotter, ou plutôt à me faire me déculotter, afin de me chauffer et rougir les fesses bien comme il faut. Et je ne parle pas ici des conflits larvés avec ma sœur aînée qui me valaient déjà pas mal de fessées carabinées !

De plus, en tant que cadet et surtout seul garçon de la famille, je recevais largement plus de fessées que mes sœurs, mais compte tenu de mon attitude, il n’y avait rien d’étonnant à cela.

J’étais entré en sixième en cours d’année scolaire. Les pieds noirs étant fort mal accueillis en France car considérés comme des envahisseurs, j’étais régulièrement la cible de sarcasmes de la part de mes condisciples auxquels, costaud et querelleur de nature, je répliquais tout aussi régulièrement à coups de poing. (Oui, les e n f a n t s ne sont pas toujours des anges et peuvent être assez méchants entre eux !)

Mes bagarres me valaient des heures de colle et autres avanies régulièrement doublées par des fessées, une routine assez « frappante » pour mes fesses en somme.

Pour tenter de me mettre plus en phase avec mes condisciples, ma mère m’avait autoritairement enjoint de devenir e n f a n t de chœur. Et je servais donc la messe le dimanche en tant « qu’aide thuriféraire » dans la paroisse que nous fréquentions.

Un après-midi de semaine au printemps, au lycée un cours fut annulé. Au lieu de rentrer directement chez mes tantes, j’eus l’idée saugrenue d’aller me promener tout seul sans rien dire à personne malgré les consignes pourtant strictes : rentrer à la maison sitôt les cours finis.

C’était aisément contrôlable car les emplois du temps respectifs de ma sœur aînée et le mien étaient affichés sur le frigo dans la cuisine. A côté, comme une menace suspendue en permanence sur nos têtes, veillait un superbe instrument à manche de bois pourvu d’une dizaine de solides lanières en cuir. Comme bien de mes semblables à l’époque, j’ai durant des années apprécié les délicates caresses du vieux sieur Martinet !

Comme mon médecin de mère travaillait à l’hôpital pour ne rentrer que tard en soirée, j’estimais ne pas risquer grand-chose. Et comme le hasard fait mal les choses, ce jour-là précisément, elle est rentrée bien plus tôt à la maison.

Ma sœur aînée était rentrée à l’heure… Mais où était donc Olivier ?…

A traîner tranquillement en ville, je ne m’étais pas aperçu de l’heure. Panique ! Je me ruai vers la maison ? Je sonnai à la porte espérant passer inaperçu.

Avant de pouvoir esquisser le moindre geste de protection ou émettre la moindre parole, je me pris une paire de gifles monumentales ! Ma mère, affolée et en pleurs, venait de soulager son inquiétude sur mes deux joues.

Accourues derrière elle, mes tantes avaient l’air furieuses et consternées. Dans un coin de la cuisine, ma sœur aînée, seule présente, s’esclaffait et moi, les joues brûlantes, je restai-là, complètement abasourdi au milieu de cet affolement. Ma mère se mit alors à m’interroger en me secouant comme un prunier sans écouter un traître mot de mes explications.

Enfin, je tentais piteusement d’expliquer mon retard. Bien entendu, aucune excuse n’était recevable, m’étant affranchi des consignes. J’avais désobéi, une fois de plus et je m’attendais au pire.

Mes tantes étaient trois « vieilles filles » adorables qui vivaient ensemble et une d’entre elles était directrice d’école. Elles étaient toutes trois rassurées mais aussi irritées par ma négligence. Quand ma mère entreprit de me débarrasser de mon cartable et de ma veste puis de me traîner au beau milieu de la cuisine, elles ne pipèrent mot sachant parfaitement ce qu’il allait m’arriver.

Fermement arrimé par le poignet gauche à ma mère, je n’avais aucun doute sur la fessée qu’elle me réservait, mais je n’imaginais pas que cela se passerait en public devant la famille presque au complet.

Ma mère s’assit sur une chaise placée au milieu de la pièce et, me retenant fermement, coinça mes jambes entre ses genoux. Tout en m’accablant de reproches, elle commença à détacher les bretelles, à déboutonner ma culotte courte, à la baisser puis à me la faire enjamber pour l’ôter complètement. Sentant, l’inéluctable approcher, je me mis à s a n g loter et à supplier :

« Je ne le ferai plus… pardon… pas fait exprès… non, Maman, pas devant tout le monde !… etc. »

Bref toutes les vaines simagrées d’un garçon sur le point de recevoir sa fessée. Et bien entendu, mes protestations eurent seulement le don d’affermir davantage ma mère dans sa détermination. Je devais être sévèrement puni. Elle abaissa d’un coup sec mon slip jusqu’aux chevilles et me courba sur sa cuisse gauche.

Je restai en équilibre, mon ventre plaqué sur son genou, mes mains posées sur le carrelage, mes fesses pointant en l’air alors que de son autre jambe passée par-dessus les miennes, elle empêchait tout risque de ruades. Je savais par expérience que lorsqu’elle adoptait cette position, j’étais bon pour la maxi fessée.

Ma sœur qui s’était rapprochée n’en perdait pas une miette. Ma tante directrice d’école renchérissait affirmant que le seul moyen de faire comprendre les choses à un e n f a n t passait par une vigoureuse fessée, ses élèves en savaient quelque chose !

La fessée commença en trombe et le rythme devint vite insupportable. J’encaissais les claques formidables les unes après les autres, me tortillant autant que le peu de liberté de mouvements le permettait. Quand la fessée prit fin au bout d’interminables minutes, j’étais en larmes. Ma mère m’aida à me relever puis, les fesses toujours à l’air, me poussa dans un coin de la cuisine.

« Les mains sur la tête et tu ne bouges pas avant que je t’y autorise ! »

Un peu plus tard, ma mère estimant que j’avais eu le temps de réfléchir, m’autorisa à me reculotter et me convoqua devant le « tribunal familial » constitué de mes trois tantes, de ma mère et de ma sœur.

« Olivier, j’espère que tu as compris pourquoi je viens de te donner cette fessée ? »

« Oui ! Oh oui Maman ! » larmoyai-je tout penaud et ne désirant surtout pas exposer mes fesses à une nouvelle déculottée.

Tout à mon remords, j’eu l’idée de me justifier d’un mensonge. Grosse bêtise !

« Mais Maman, on est sortis plus tard que d’habitude à cause d’un cours supplémentaire… Bien sûr j’ai flâné un peu… mais pas très longtemps. »

J’avais oublié mon emploi du temps épinglé en bonne place, et qu’un simple un coup de téléphone au lycée aurait démoli mon alibi.

Le lendemain, un jeudi jour de congé, pas de souci. Le vendredi soir de même… jusqu’au retour de ma mère qui m’appela, le visage fermé.

« Olivier, peux-tu me répéter la raison de ton retard mercredi, s’il te plaît ? »

Le ton était faussement calme et, saisi de peur, je débitai mon mensonge en l’agrémentant de détails farfelus pour le rendre plus crédible à mon idée.

Ma mère resta de marbre. Elle me fixa longuement, froidement sans un sourire. Je me sentis frissonner.

« Je suis passée à ton lycée, commença-t-elle. Tu as passé l’après-midi en vadrouille comme un inconscient. De plus, j’ai un fils menteur. C’est du propre !… Ton père rentre la semaine prochaine, nous verrons bien ce qu’il en pensera. »

Malgré mes tentatives, rien ne fit fléchir ma mère. Je connaissais bien les réactions de mon père quand il s’agissait de fautes graves. Les jours suivants furent un véritable cauchemar. J’avais beau être un modèle de gentillesse et de sagesse, je ne réussissais pas à détendre l’atmosphère. Ma mère et mes tantes me tenaient à l’écart, feignant de ne pas me voir.

Le vendredi fatidique, mon père rentra à la maison. A peine était-il arrivé que Maman lui demanda de la suivre dans leur chambre.

Je restais assis sagement à ma table, paralysé d’inquiétude, incapable de faire mes devoirs.

Quand il ressortit de la chambre, mon père vint vers moi. Mon sort fut fixé, sans éclats de voix, mais sans appel.

« Olivier, je te pensais que tu étais suffisamment grand pour ne plus faire ce genre de bêtise, mais tu t’es conduit comme un gamin. Enfin, et c’est le plus intolérable, tu as menti à ta mère avec un aplomb insupportable. Et ça, mon fils, c’est impardonnable. Nous allons régler cela demain matin entre nous deux. Comme je ne veux pas affoler tes tantes, nous irons à la Côte Ste Catherine où je te donnerai une leçon que tu n’oublieras pas de sitôt. »

Il faut préciser qu’en 1962-1963, la Côte Ste Catherine était un parc touffu inhabité où les habitants de Bar-le-Duc allaient se promener le week-end et les jours fériés. Cette colline, aujourd’hui couverte d’habitations, était à l’époque un lieu très tranquille et un véritable terrain de jeux plein de cachettes.

Inutile de parler de l’horrible soirée, du repas puis de la nuit qui suivirent l’entretien. Je n’avais pu articuler un mot, baissant la tête sous le coup de la sentence. A table, je fis profil bas, répondant quand on me parlait, déférent et sage comme jamais.

La nuit, je dormis très mal.

Le lendemain matin, toilette faite et, l’estomac noué, petit déjeuner avalé sans appétit, mon père enfila son manteau, me fit signe de faire de même et décrocha le martinet suspendu au mur.

Dans l’escalier de l’immeuble, nous croisâmes l’une de mes tantes qui remontait des courses et qui hocha la tête pour approuver mon père avec son martinet bien en vue dans la main, une autre posée sur mon épaule.

Ce vieux martinet était un instrument redoutable qui avait déjà servi sur les fesses de mon père avant les miennes. Un cordonnier l’avait refait à neuf pour mon usage personnel. Ses solides lanières de cuir pouvaient laisser des stries rouges sur des peaux tendres et même faire très mal si elles étaient maniées sans discernement. Rien à voir donc avec les trucs de pacotille encore en vente ici ou là.

Très vite, nous sommes montés dans l’Ondine (une petite Renault) et démarrage pour la Côte Ste Catherine, moi le ventre serré.

Depuis le centre-ville il nous fallut une bonne quinzaine de minutes pour arriver au sommet de la colline. Il devait être dans les 10 heures du matin et heureusement, il n’y avait personne dans les environs.

« Allez Olivier, viens avec moi ! »

La m o r t dans l’âme, je suivis mon père qui prenait un sentier, le maudit martinet toujours dans sa main. Au bout d’une dizaine de mètres, le sentier débouchait dans une petite clairière, où mon père s’arrêta.

« Ici, c’est bien. Maintenant à nous deux. Enlève ton anorak, baisse ta culotte et ton slip et viens ici. Et dépêche-toi ! Plus tu me feras attendre et plus ta fessée sera sévère. »

Commençant à pleurnicher, j’obéis rapidement sachant bien que la patience de mon père était très limitée. Je me déculottai en vitesse je me retrouvai à trois mètres de lui, les fesses à l’air, les yeux pleins de larmes et tremblant plus de frousse que de froid n’ayant rien d’autre en tête que l’appréhension de la fessée imminente.

« Approche-toi. Plus tu lambines et plus il risque d’y avoir des promeneurs qui te verront. »

Je m’avançai à petits pas, mes pieds empêtrés dans mes vêtements.

Mon père posa le martinet par terre, me coinça sous son bras et commença à me distribuer des claques monumentales. En quelques claques, mes fesses se mirent à brûler comme l’enfer.

C’était sa procédure habituelle. La fessée à la main précédait la fessée au martinet pour « te chauffer les fesses » disait-il avec ironie. En revanche, s’agissant d’un « deuxième service », c’est-à-dire quand ma mère m’avait déjà fouetté l’après-midi, mon père estimait que cela méritait davantage, et il prenait le relais soit à la ceinture soit au martinet, ceci fut possible quand il trouva un travail sur place.

Il s’arrêta de me fesser, ramassa le martinet et la danse reprit avec une bonne cinquantaine de coups sur mes fesses déjà endolories par la fessée ainsi que sur mes cuisses.

Il y eut une pause que je pris pour la fin de ma correction alors qu’il relâchait sa prise.

« Cette première volée, c’est pour te punir pour ton absence et le souci causé à ta mère. »

Il me courba de nouveau sous son bras et cette fois, les lanières zébrèrent une dizaine de fois mes mollets me faisant trépigner sous leurs cuisantes morsures.

« Et ça c’est pour ton mensonge éhonté » cria-il tout en me fouettant.

Je n’ai qu’un vague souvenir de mes réactions durant ces trois corrections successives, mais je pense que je devais gesticuler en essayant de ne pas trop crier pour ne pas attirer l’attention d’un éventuel promeneur. Je me souviens bien par contre qu’à la fin, j’ai attentivement scruté les environs pour m’assurer qu’il n’y avait personne et qu’aucun bruit de voix ou de voiture n’était perceptible. La crainte avant l’exécution et la peur de me faire surprendre firent que je laissai échapper inconsciemment quelques gouttes de pipi.

Quand mon père me relâcha, je compris que la correction était finie. Je s a n g lotais éperdument quand je l’entendis me dire :

« Enlève ta culotte et ton slip et donne-les moi… Oui, complètement ! »

« Mais pourquoi, Papa ? » demandai-je affolé sans comprendre le sens de son ordre.

« Tu vas regagner la voiture avec tes fesses à l’air… cela te servira de leçon ! »

Je me gardai bien de moufter, ne tenant pas à en recevoir encore plus. Mes fesses, mes cuisses et mes mollets brûlants et rougis avaient eu leur dose. Je continuais à pleurnicher et frissonnais en me dirigeant vers la voiture, redoutant la rencontre avec un promeneur.

Dieu merci, personne alentour !

Une fois à la voiture, mon père me permit de me rhabiller. Durant le trajet du retour, le plastique du siège sur lequel j’étais assis faisait rayonner la chaleur emmagasinée dans mes fesses et une partie de mes cuisses.

Arrivé à la maison, une dernière épreuve m’attendait. Maman demanda à voir le résultat de ma correction. Évidemment la cuisine était au complet : mes deux sœurs, mes tantes, mes parents. Je dus une nouvelle fois me déculotter, je crois bien que les yeux de ma sœur aînée s’arrondirent. Et aux hochements de tête des adultes je compris que mon père avait bien fait les choses.

Heureusement, le lundi matin au lycée, il ne restait que quelques stries rosâtres en voie de disparition sur mes mollets et mes cuisses. Mes chaussettes bien tirées et la culotte courte un peu longue que je portais me permirent d’échapper à la curiosité de mes camarades de classe… ce qui n’était pas le cas de mes fesses qui avaient encaissé les coups de martinet les plus vigoureux, ce que m’avait révélé le matin même le miroir de la salle de bains. En me tordant le cou et penché en avant, j’avais pu constater les « dommages » qu’elles conservaient précieusement comme pour ne pas oublier ma petite promenade.

Et l’avais-je vraiment oublié cette promenade épique à la Côte Ste Catherine?

Rentrant de vacances l’été dernier, je suis passé à côté de Bar-le-Duc.et tous mes souvenirs sont remontés en flèche du fond de ma mémoire. Rétrospectivement, et avec la conscience de père que je suis devenu, je comprends très bien la réaction de mes parents et leur suis encore très reconnaissant de cette cuisante leçon justement méritée.

En fait, je ne leur en avais jamais voulu !

Olivier

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